divendres, 22 de febrer del 2013

Saniya Saleh. deux poèmes .

Damas
la plus ancienne ville du monde


Qui habite un trous dans le vent 


Qui habite un trous dans le vent:
le bourreuau ou la victime ?
le Bleu de la lampe ou la victime
des coups de fouet ?
L'obscurité rancunière règne là-bas.
Et le procoureures muni de sanctions arrive.
Qui oserait encore de cahnter et danser ?
Enterrons donc nos os dans la terre
Sous les sceau de confiance.
Mais est-ce que le sable nous trahirait ?

......................



Pensées silencieuses


Les roses son noires dans l'exile
L'aigle et un monstre
et la foret un embouscade
C'est un vain qu'une bouche effleure une otre bouche.
(...) quelqu'un  va tirer sur ma memoire.
Elle se tient debout dans le vent.
Maitre,
je viens examiner avec vos gardes et les chiens de vos jardins
La question de la faim en dans laquelle je demeure.
Et de l'humiliation dont je me covre
Et dee la stature dont j'ai dû me séparer.
Je viens me plaindre du lierre dun rêve réster sans fruits
et du mâle des roses qui  à offensé sa femmelle
Et de l'âbime du fond  du quelle les soldats me guettent.
(...) Lorsque j'ai  parlé à Dieu
Ma voix fut déniée et la porte claquée.
(... ) Un e queue me poussa soudain entre les jambes
et je chutais vers les mondes souterrains.
(...) De la rouilles s'acumulles sous mes cils/ Isolement
Et arsenic de l'exil.
(...) Dans la solitude, j'ai pleuré et tremblé
comme si le tonerre secouaits mes articulations
et la poussière de ma solitude a chanté
tel un oiseau sur les branches
et malgré ce la tu ne reconnais pas
ma légitimité.
Ô solitude,
Ô solitude qui emprunte les apparences
de la liberté.
(...) Le fontaines des ma salive se son assechées
apres que les Perse , les Mongols, les Turcs, les étrangers de Babel et
les Nabatéens si soient désaltéré.

Voilà pourquoi je ne peux plus cracher sur une époque
qui brise par la victoire et par la défaite.


Traduit de l'arab par Ritta Badoura
L'Orient Littéraire




Saniya Saleh, figure discrete mais majeure de la poésie syrienne du siécle dernier, est née à Misyaf, dans le nord de la Syrie, en 1935.Elle à contribué au renouveau de la poésie modern arab, tout d'abord par sa participation active au magazine d'avant-garde Mawaqif et à la reveu Shi'r. ... (....) .. elle a su néanmoins développer une voie originale, publiant divers ouvrages de poésie, un receuillesde nouvelles ainsi que des essais. Saniya Saleh , rongée par les cancer, meurt en 1985, laissant une oeuvre éminemment singulière  dont les intonations fémminines, la fantasmatique imaginaire, la force du propos et la délicatesse stylistique son uniques

L'Orient littéraire /L'OrientLe Jour 2012/10


2 comentaris:

  1. No conec l`original àrab però en frances ja transpua sensibilitat i trsctaré amb tot respecte de traduir- lo en catalá

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  2. Jo tampoc conec l'original.

    Està extret del suplement cultural del diari francòfon beirutí LeJour/L'Orient.

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