dijous, 28 de març del 2013

O(H) !



POEMA
O
B
S
E
SIV
O
Y
AB
DUCID
O
POR
LA
BELLEZA
FIGURADA
FOTOGRAMA
PLÁSTICO

:

PIEL
Y
AROMA
A
CLARO/OSCURO




IN
TU                       YO
TU
SIN                           YO


oH

!




de

aDg


foto

:

Neptuna

Asesina

fotografa

peruana


'cuando el espÍritu es libre aparece la forma'



Gracias

a
OrejaLeón

dimarts, 19 de març del 2013

L' Alguer : dos poemes d'Ignazio Delogu



JA BASTA QUE EL SOL


Ja basta que el sol
t'acoloreixi, altra cara
altre esguard. Sense
línies el teu cos la teva
cama només forma 
dibuixa un arc lleu 
i es disten.



  


ARRAN HI HAVIA

Arran hi havia el feix 
de buganvil.lies i la branca
resseca de la foguera contra
l'ombre de l'absorta magnòlia
als confins del pomer al llindar
del nesprer ennegrit escasses roses
silvestres allargaven ordres
d'espines jeràrquiques de dentadures
híspides d'ensopides càries floreals.
Era al maig i la intensa rojor
dels vespres es destenyia en angles
cada cop més isòsceles. Era incert
el declinar de l'hora però des de l'arc
de l'illa reverberava sonor
l'últim raig la diana
de les freèsies frenètiques.




en record d'aquells  
meravellosos
dies passats 
a
l'apartament
de
via carbonia
de
l'Alguer
i
amb
molta gratitud 
pel
dolç
 acolliment
 de tota la seva gent i molt especialment 
de les
germanes
i
mestresses 
de 
la casa

*

Ignazio Delogu
és
poeta,
narrador, assagista i
traductor

*

els
poemes 
són
del 
llibre
Improbable Viola
de
Columna

*
traducció
de
Jordi Doménech Soteras

*

 aDg

divendres, 15 de març del 2013

experiment(a)l : A

a
A :

(a)
prent-
ne més

H(a)s
de
fer-l(a)
més bé,
A.

H(a)
de ser
milor,
A.

Desacamp(a)n-te Desfullan-te Desfloran-te no n'hi h(a) prou. L(a) poesi(a)és molt més que 
Això.Qu(a)tre g(a)rgots en sensibilit/(a)t 
A.


PoesiA
de
l'experienciA
O
experimentAl
O
ocupacionAl
O
siderAl
O
de
la
consciènciA
O
de
 bAtAllA
?


i
diu el  (més grAn)  poetA :


' De mà en la batalla pensa en mi, 
i que caigui la teva espasa...






dijous, 14 de març del 2013

l'amor és més espés que oblidar...

love is mor thicker than forget




l'amor és més espès que oblidar
més subtil que recordar
més infreqüent que una ona molla
més freqüent que fallar


és més boig i lunar
i menys noserà
que tot el mar que només
és més profund que el mar

l'amor és menys sempre que guanyar
menys mai que vivent
menys gran que el més petit començ
menys inferior que oblidar

és més sa  i solar
i més no pot morir
que tot el cel que només
és més alt que el cel










love is more thicker than forget
more thiner than recall
more seldam than a wavw is wet
more frequent than to fail


it is most mad and moonly
and less it shall unbe
than all the sea which only wich only
is deeper than the sea

love is less always than to win
less higger than the least  begin
less littler than forgive

it is most sane and sunly
and more it cannot die
than all the sky which only
is higher than the sky






(a)poemes
antologia poètica
e.e.cummings



traducció, selecció i edició
d'alfred sargatal


edició bilingue

TRUCS I BALDUFES . 21. EL GALL EDITOR

pollença. mallorca
illes balears.

dilluns, 11 de març del 2013

petites poupées en bois.


(*)



de
safaa fathy



Dans un vie errant qui reste à créer devant un table un bois achetée l'avant-veille la foire des inventeurs se révolte lorsque je lis le poème de l'événement rocheux. Ainsi parlerais-je aux objets car même Heiner Müller est mort il y as plus d'un année moins des années. Sa machine, ses machines nombreuses  tournent, tornent à jamais.Nous verrons son spectre au cinquième jour de ce printemps nôtre à l'heure de l'oraison funebre où nôtre sang séché nous est volé grâce au prière des Satan.


Qu'il te soit donné les bras  que tu préfères  ou même la blanche
dentition qui se conge

à la tasse ou même encore la vapeur de mon café.

Il est révolu le temps du pardon, de l'aveu.

Il ne te reste qu'à me rendre visite dans les songes,

Chaise un vision...Dis-lui: Vas, ne l'oublie pas.

Tu l'as délaissée et la voilà embarquée sur le nefs de la ville.

Soldat au combat j'ai toujours capitulé.

Comme a l'énnemi que le combat te reussisse.

Contre les taureaux ceux-là même qu'un matin tu fis éclater 
a mon visage.

Des rêves que tu manies comme des petites poupées j'atendrai qu'ils me mènent
à ta demeure vers la table où s'entassent les livres de Fiodor Dovtoievski.

Les toi d'un maison d'où suinte les suc des anges.

Une feuille abandonnée où tu traces le signe de la pudeur.

Et ce cahieroù tu à invinté un nihilisme nouveau.

Il contenait des adresses d'où les noms s'étaient évanouis à Berlin sou une lumière

celeste.

Un talisman ainsi écrit : No Hope No Despair


Traduit de l'arabe par Hedi Djebnoum








Safaa Fathy
poète et cineaste
née en 1958 à Minya ( Egipte )
A réalisé le documentaire
Tahir lève, lève la voix ( 2011 )
et recueils de poésie
Et une nuit ( Le Caire 1996 ) Les petites poupées en bois (Le Caire 1998 )
Où nes pas naître ( Le Caire 2002 )



(*) photograme du film 'Un été à La goulette'


de L'Oient-Littéraire.num.81









divendres, 8 de març del 2013

JE VEUX RENTRER DANS TA MAISON


de
thérèse Aouad Babous



Je veux rentrer dans ta maison
Sentir le thym sentir l'odeur
Je veux rentrer dans ta maison
Palper la pierre, toucher tes pleures
Je veux rentrer dans ta maison
Pétrir ton pain des mes deux mains
Nul cadeau, même pas des fleures,
Je viens sens armes voler ton coeur
Je veux rentrer dans ta maison
Seuls à seuls avec tes mures
Je t'ofrirai tout mes fruits mûrs
Nos corps sauront le bonheur
Nos rideaux mêmes n'auront plus peur
Je veux rentrer dans ta maison
Sentir le thym sentir l'odeur
Quand le grand Vent venu d'ailleur
Soufflera fort sur nos chemins
Je veux rentrer dans ta maison
Sentir le thym sentir l'odeur
Pétrir tin pain des mes deux mains
Je veux rentrer dans ta maison




Thérèse Aouad Basbous est née a Bhersaf (Liban )
poète et aurteure dramatique en langues arabe et française.



*
foto
Anka 
zhuravleva

dimecres, 6 de març del 2013

JE TE NOMME TUNISIE


par Tahar Bekri













Gabès 1951



Je te nomme Tunisie



J'emportais tes stèles
Des hautes pierres
Dans la vastitudes des vallés
Où le coquelicot à élu domicille
S'ailliant au meilleurs prairies
Les collones débout en dépit des tyrannies
Tous ces conquérants réduits en ruines
L'eucalyptus témoins de défits
Avais-je tes mimosas ou tes asphodèles
Comme compagnones des fortune
Pour dire aux épines
La blessure relève
Du lutteur décidé
Non des la feblesse des collines





Palmeraires



Steppes ouets lacs et vous
Fôrets des chênes lièges
Je vous réunis sur les murailles des la ville
Où sentinelle
San tour de guet
Je reconnais vos feux
Un a un
Ils m'apportent la flamme
Des vents lavés de citronniers
Leurs courses alourdies
Par les départs immobil
Cette douce mélancolie
aux aguets de la moindre nouvelle
Emportée comme gibecière
À l'épaule du chasseur qui se retire.




L'Orient-Littéraire
2010-12.

  









dimarts, 5 de març del 2013

LATTAQUIÉ. SYRIE : trois poèmes




de
Monze Masri




Monzer Masri est un poète et peintre syrien né en 1949 à Lattaquié où il réside. Il est l'auteur d'un dizaine  de receuils parus essentiellement chez Ryad-el -Rayyes à Beyrouth.Sa poèsie faites d'instantanés à toujours privilégié un ton simple et sincères, attentif aux choses du quotidien au détriment des comventions littéraires de son époque. Les gens de la côtes est paru en français aux éditions Alidadès en 2005.




  

*



Sa soeur  l'Affection
( à Maram )



Il à passés sa vie 
dans des guerre sans fin
entre sa mère l'Insctinc
ét son père la Rason.


Mais a l'heure de s mourir
Ils furent surpris lorsqu'il leur avoua
que ce qui l'avait tué
était sa soeur l'Affection.


Traduit de l'Arab 
par Rita Boabouera





**


Au café le matin, au café le soir



Le matin 
entre dix et une heure
tu seras,
pour qui veut te voir,
à ta place habituelle,
au café du trottoir est
suivant du regard
les morts
qui passent.

Et le soir
entre cinq et neuf heure
tu seras,
pour qui veut te voir,
air détaché,
écrasé
à ta place habituelle,
au café du trottoir ouest
mire du regard
des vivant
qui passent.






***




Navire égarée, rivage abandonné



Étais-tu navire égaré
et mois rivage abandonné ?
Étais-je navire égaré
et tois rivages abandonné ?
Ou étions nous tous deux
navires égarés
qui se croisèrent au large
d'un mer san rivage ?
Aujourd'hui,
vagues giflant mon visage 
et le giflant encore,
jamais plus
-je le sais-
rencontre n'adviendra
car nous sommes seulement
nous sommes depuis toujours
deux rivages 
abandonné







traduit 
de l'arabe
par Claude Krul.





toutes les photos 
son vues
actuels 
de 
Lattaquié
.
la Côte d'Azur
syrienne

les textes
de
@ l'Orient Littéraire// poème d'ici.





divendres, 1 de març del 2013

tres de març



.

(
sons
)

Figuracions , lamentacions i d'altres reiteracions 
de l'anònim
 .
a
desconegut

da
.
.
.

nO
Sóc
cOm
Jo
eM
dEs
crIc
Ni sóC
a
Qui
hEu
viSt
.
Ni
sÓc tAn
pOc
cOm
( m')
Heu
Sen
tIt
tant
s
cops
com 
m'he 
d'es
crit
.

.   JO   .
.


no

sóc
on
sóc
ni
amb
qui
jo
sóc

ni

de qui sóc
ni de
qui
vinc
ni amb qui 
m'a
vinc

I


 ja us he dit 

TOT
allò que no 
( us )
volia
dir
.





gArgOt

tres de març

signatura



l'anònimadegrÀcia
valldoreix